Je souhaite comprendre pourquoi la SDANF traite rapidement certains nouveaux dossiers CAA/CAE, parfois en une semaine ou même 1 jour, alors que de mon côté, j’attends toujours depuis 3 mois sans aucune réponse.
Y a-t-il une explication ou une méthode spécifique pour accélérer le traitement de ces dossiers ? Existe-t-il des démarches ou des astuces pour améliorer les délais ?
Je suis preneur de toute expérience ou conseil pour mieux gérer ces situations.
On n’a pas énormément d’infos précises sur le sujet, mais on peut quand même partager quelques pistes :
Ça dépend beaucoup de la complexité du dossier.
La SDANF regarde tout depuis l’entrée en France. Donc si quelqu’un a eu pas mal de changements de situation (adresses, boulot, etc.), le dossier peut prendre plus de temps à être vérifié.
Ils peuvent aussi lancer des enquêtes ou des vérifications.
Parfois, la SDANF demande des infos complémentaires, surtout si ça touche à l’étranger. Et là, ça peut être long, surtout avec certains pays où les démarches administratives prennent du temps.
Bref, c’est pas toujours rapide, même quand tout semble en ordre. Faut s’armer de patience malheureusement…
Je suis tout à fait d’accord avec votre analyse, notamment sur le fait que la complexité du dossier, les vérifications et les demandes d’informations complémentaires peuvent fortement influencer les délais. C’est vrai que la patience est de mise dans ce genre de procédure.
Cela dit, j’aimerais aussi souligner un point que j’ai remarqué : il semblerait que certains nouveaux dossiers qui arrivent à la SDANF il y a seulement une semaine soient déjà ouverts par un agent, alors que d’après ce que j’ai entendu, le traitement suit une logique FIFO (First In, First Out), c’est-à-dire que les dossiers sont traités dans l’ordre d’arrivée.
Y a-t-il une explication à cela ? Peut-être y a-t-il des dossiers prioritaires ou une autre méthode de traitement dans certains cas ?
Je pense qu’il s’agit de cas exceptionnels et involontaires lorsque certains dossiers tout juste arrivés sont traités avant d’autres. Pour 99 % des cas, le traitement suit bien la logique FIFO, comme vous le soulignez.
Ca depend des dossiers et du profil du demandeur.
Certains dossiers amènent une enquête de la SDNAF (= Ministère de l’Intérieur) d’autres pas.
La nationalité est une faveur et non un droit, et donc l’Etat peut diligenter toute enquête qu’il juge utile.
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